Région parisienne, début des années 90. Pas encore la trentaine, sortant beaucoup, je rentrais souvent tard, et je passais donc traditionnellement à la boulangerie près de chez moi (à l'arrière, par la porte de service) pour quelques croissants et du pain chaud sortant du four, un de mes plus grands plaisirs.


J'avais, bien entendu, remarqué le superbe boulanger, gros ours type Peter Dunwell* bourru qui apportait les énormes caisses de baguettes pour m'en servir deux ou trois de ses grosses paluches enfarinées. Je ne cessais de l'admirer : tout, chez lui, était rond, ferme, bulbeux. Son visage, rond, avec de petits yeux malicieux d'un bleu lumineux, sa barbe brune et sa peau mate... Toujours en short quelque soit la saison, je pouvais admirer son ventre rond, ses fesses rebondies serrées dans ce short moulant en stretch et ses énormes mollets qu'on avait envie de prendre à pleines mains comme le pain...


J'avais aussi remarqué, quand je venais dans la journée, son fils, petit ourson genre Greg Grunberg** en plus jeune, imberbe, perpétuellement en survet (visiblement sans rien en dessous), qui visiblement s'occuppait de la boulangerie en journée, pendant que papa dormait et que maman et la petite soeur étaient à la caisse. Une bouille ronde irrésistible, les mêmes yeux que son père, moins imposant que lui, mais avec les mêmes fesses type "cul de black"...
Je faisait de grand sourires et de grands mercis en direction de la boulangère à la caisse, mais c'était le fils, derrière elle, que je regardais...


Ce petit manège a duré quelques mois, le jeune homme me faisant parfois de petits clins d'oeil discrets mais complices. Mon opinion était faite : il est gay, et je finirai bien par le rencontrer un jour dans un bar, un sauna ou autre endroit de drague...


Un soir que je rentrais un peu plus tôt que d'habitude, quelle ne fut pas ma surprise en arrivant à la boulangerie, d'être accueilli par Ludovic, le fils du boulanger. Me servant mes habituels croissants et baguettes, il me caresse la main en me rendant la monnaie... La surprise (!) passée, je m'apprête à partir lorsqu'il passe devant moi pour récupérer des caisses vides entassées devant la porte. Voyant son pantalon de survet tendu et à moitié descendu sur le cul, je n'ai pas pu résister, je pose ma main sur ses fesses.

Et au lieu de se retirer, il s'arrête et se cambre, appréciant visiblement ce contact. Et là, c'est l'explosion : on se jette l'un sur l'autre, on s'embrasse fougueusement, je commence à lui enlever le T-shirt, on aurait presque baisé là, devant la porte de la boulangerie ! Mais il m'a pris par la main, et m'a emmené dans l'arrière salle. Les vêtements on volé instantanément, et on s'est retrouvés à poil (putain ces balloches, ce corps rond et imberbe !), entre le four et le pétrin, lui en train de me sucer comme s'il n'avait pas mangé depuis des semaines. Après de longues minutes de caresses, de baisers enflammés et de pipes profondes en 69 (quel talent pour son âge !, que je situerai aux alentours de 17-18 ans), il me présente son cul déjà palpitant ; je le lèche goulument, et je le sens s'ouvrir sous ma langue... je ne peux résister : j'introduis ma bite... quelle intense chaleur envahit mon gland ! Sublime !

Et là, la porte s'ouvre d'un coup : LE PERE !!! Nous restons figés tous les trois une seconde, puis tout de suite, Ludo ramasse ses affaires, et prend la direction de la sortie. Je me dirige vers mes fringues, et c'est alors que le père dit à son fils "Reste Ludo, c'est pas un problème !" et vient direct me rouler une pipe d'enfer avant de me sucer comme rarement on me l'avait fait !!!
Raide de stupéfaction, Ludo resta là à regarder le spectacle : il venait donc d'apprendre que son père aimait la bite, comme lui !


Je lui fis, et son père aussi, plusieurs fois le signe de venir nous rejoindre...
Putain quel bon suceur son père ! Malgré l'étrangeté de la situation, il a fini par réussir à me faire rebander... Lui aussi me présente son cul... Alors sans sommation, je le pénètre...Oh ! ce cul ! Chaud, très ouvert mais me "tenant" bien la bite, je commence des va-et-vient lents et profonds... trop bon, je ne tiendrai pas le coup longtemps ! Le sentant, le père se retire et egloutit ma bite dans sa bouche...

Juste quelques secondes... Ludo, qui finalement s'était ravisé (le spectacle l'a excité : il bande comme un taureau), approche, me saisis la bite à pleine main, puis me suce aussi bien que son père, avant de s'empaler sur ma bite ! Je n'ai pas pu résister, j'ai joui en quelques secondes...

Mais ce n'était pas grave, car son père entrepris de me resucer, je n'ai cette fois pas mis longtemps à rebander. Je l'encule une nouvelle fois, en le limant profondément (je sentais le deuxième sphincter me caresser chaudement le gland) et en suçant le fils qui me tendait son chibre court et épais, debout sur la table. J'aurais voulu que ça ne s'arrête jamais ! Je jouis avec violence dans le cul du père, qui jouit presque en même temps presque sans se branler, puis Ludo jouit sur mon torse m'en mettant des litres partout !

On reste comme ça, à apprécier le moment, couverts de farine de la tête aux pieds... Un des meilleurs plans de ma vie, totalement véridique !
Je les ai, ensuite, revus régulièrement, jusqu'à ce que je déménage en 1995. On allait draguer ensemble, le père a fait découvrir au fils les lieux de drague, saunas, bars ou l'on pouvait bien s'amuser... Et j'adorais aller acheter mon pain en journée, en imaginant la tête le la mère et la fille si elles savaient...


J'aimerais bien les revoir un jour. Ludo doit aujourd'hui être un ours superbe, et son père Thierry un daddy de toute beauté... Si vous lisez ce texte, manifestez vous !


*Peter Dunwell est l'acteur qui incarne l'intendant de la Diva Bleue dans le 5ème élément de Luc Besson.

**Greg Grundberg jour Parkman (celui qui a des pouvoirs mentaux) dans la série Heroes.